L’algue, une matière encombrante à valoriser

Nous vivons dans une époque où les matières premières se raréfient. Après des années d’abondance et de construction massive, nous nous rendons compte qu’il est temps de réfléchir à l’usage que nous faisons des ressources à notre disposition. Il nous incombe aussi de chercher et de développer de nouvelles manières de construire. Quelles solutions pouvons-nous proposer ?

C’est dans cette dynamique que s’inscrit le séminaire de mémoire SLOW FACTORY, dirigé par Mr Luc REGIS. L’objectif est de rassembler des étudiants en architecture afin de réfléchir, expérimenter et produire de nouveaux matériaux. Nous allons donc nous focaliser sur la matière et ses potentialités; tout en gardant à l’esprit qu’architecture et matériau sont deux éléments très liés. Un travail autour du déchet, et de sa revalorisation a été entrepris par chacun des étudiants. 

Ce mémoire s’est intéressé aux algues. Présentes en grande quantité sur les côtes françaises, bretonnes notamment, elles constituent une manne à disposition. Nous nous focaliserons sur les algues sauvages, et en particulier sur les algues épaves. Ces dernières n’intéressent que très peu les entreprises de cosmétique ou d’agroalimentaire, car elles sont de qualité médiocre d’un point de vue nutritionnel et chimique. Elles sont donc la plupart du temps laissé échouées et abandonnées sur les plages. Elles feront donc une source appropriée pour cette recherche.

 

Pour plus de détails, le mémoire complet est disponible ci-dessous. 

Please wait while flipbook is loading. For more related info, FAQs and issues please refer to DearFlip WordPress Flipbook Plugin Help documentation.